Millevaches 2020 – Changement de format - suite !

Notre dernier article a suscité bien des réactions et nous en sommes ravis car c'était l'objectif :

Vous offrir un peu d'animation … et de rires en cette période contraignante du confinement, et profiter de ce 1er avril pour monter un "énoooorme" canular … Nous avons d'ailleurs poussé le sadisme (amical) en masquant toutes les références à ce fameux 1er avril dans les premières heures de parution (en expliquant le pourquoi en MP !).

Mais surtout encore merci pour vos réactions, comme exprimé dans notre dernier commentaire sur Facebook :

" [...] Merci d'exprimer idées, doutes et positions dans cet esprit constructif et surtout sans polémiques stériles. Des propos pas toujours faciles à formuler, parfois malaisés à recevoir, mais librement échangés dans un réel esprit de partage ! [...] "

Effectivement nous n'allons pas vous "parquer". Ce serait contraire à vos désirs (et vous l'avez largement exprimé !), opposé à notre volonté de ne pas "fliquer" et surtout, ce serait antinomique avec l'esprit originel de l'hivernale destiné à offrir un espace de liberté, de rencontres, de partage.

Néanmoins, cette liberté ne peut être ni absolue ni égoïste telle que l'exprime cette maxime libertaire :

"La liberté de chacun s'arrête où commence celle des autres" !

Et dans cet esprit, l'objectif primordial de cette nouvelle décennie reste bien celui traduit dans cette affiche :

Nous respecterons ainsi les libertés des habitants de Millevaches, de l'éleveur, des amoureux de Dame Nature, des bénévoles, …

Cet objectif doit être commun, partagé, mis en œuvre par chacun …

Plutôt que des mesures coercitives telle que celle élaborée pour ce poisson d'avril, nous nous référons à une formulation émise par certains d'entre vous et reprise dernièrement :

L'affaire de tous, à l'image des opérations "VOISINS VIGILANTS" !

Un oubli, un esprit embrumé, une volonté de repartir au plus vite, autant de raisons qui peuvent engendrer le désordre mais qui peuvent aussi trouver leur solution dans une "gentille" remarque.

Pour le manque de savoir-vivre, le "jm'en-foutisme", situations excessivement exceptionnelles, nous pensons, il faudra peut-être plus de fermeté …

En définitive, nous sommes devant un dilemme dont la solution n'est pas détenue par le Moto-Club Meymacois, mais par chacun d'entre nous :

Une minorité imposera-t-elle des évolutions drastiques, voire même une cessation ?

Ou

La majorité saura rappeler aux étourdis la règle commune et essentielle, au profit de tous ?